La Banque Scotia est fière d’employer des vétérans des Forces armées canadiennes et heureuse de leur contribution, que ce soit en cours de service ou après. Nous valorisons les compétences et les expériences uniques que ces vétérans apportent à l’équipe, et nous sommes fiers de les aider à passer du militaire au civil.
Cette année, pour souligner le jour du Souvenir, nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec deux de nos employés au sujet de leur vécu et de leur transition vers un emploi civil à la Banque Scotia :
- Josh (il/lui), directeur principal, Initiatives stratégiques, Gouvernance LCBA – Exploitation
- Jesse (il/lui), analyste de marché, Services technologiques mondiaux de gros et de gestion des risque
Meaghan : Merci à vous deux d’être ici aujourd’hui pour discuter de votre expérience dans l’armée et à la Banque Scotia. D’abord, qu’est-ce qui vous a convaincus de venir travailler pour la Banque après votre passage à la vie civile?
Josh : La Banque Scotia m’a offert un poste qui cadrait parfaitement avec mon expérience militaire dans une industrie prometteuse. Il y a plusieurs parallèles à faire entre la gestion des risques et le service militaire en ce qui a trait à la pensée critique. Dans l’armée, il faut souvent faire preuve de créativité, puisqu’on rencontre des défis qui sortent de l’ordinaire. Rien à voir avec la journée de travail du Canadien moyen. Cette pensée critique se prête bien à la résolution des défis que nous rencontrons à la Banque Scotia. De plus, la Banque tire fierté de son leadership, à l’instar de l’armée. Au fil de ma carrière militaire de près de vingt ans, j’ai dirigé des groupes de 40 à 60 personnes. Je savais que mon leadership serait largement mis à profit et valorisé à la Banque Scotia. Il existe un préjugé selon lequel les militaires sont difficiles à former dans le monde civil, parce qu’ils seraient endoctrinés ou ancrés dans leurs vieilles habitudes. Comme on dit, « on n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace ». Mais la Banque Scotia, elle, a vu mon expérience militaire comme un atout et l’a valorisée.
Jesse : Quand je cherchais un emploi au civil, je voulais faire partie d’une équipe qui démontrait le même professionnalisme silencieux qu’on retrouve dans l’armée. Une équipe où tout le monde est déterminé, motivé à atteindre les objectifs communs et fier de son travail. C’est justement ce que me proposait la Banque Scotia : côtoyer d’autres professionnels dévoués et orientés vers les objectifs. Pour moi, l’industrie financière, et plus particulièrement le Réseau canadien, fait partie intégrante de la collectivité. À la Banque Scotia, j’ai l’impression de contribuer à un volet important de la société, comme quand j’étais dans l’armée.
Meaghan : En quoi votre expérience militaire vous sert-elle dans vos fonctions actuelles à la Banque Scotia?
Josh : Dans l’armée, il y a tout un mélange de cultures, de perspectives, de croyances et de talents. Tôt dans notre carrière, on apprend à connaître les gens et leurs attributs uniques, mais surtout à célébrer la différence. Au fil de ma carrière, j’ai occupé plusieurs postes décisionnels, dans lesquels j’ai appris à intégrer différentes perspectives et à en tirer le meilleur parti. Tout cela m’a prédisposé à travailler à la Banque Scotia, où la diversité et l’inclusion sont au cœur de tout. Ma carrière militaire m’a amené à chérir et même à rechercher la différence au sein de mon équipe, ce qui favorise le genre d’environnement que n’importe qui voudrait retrouver au travail.
Jesse : Chaque jour, je mets à profit l’esprit d’équipe et les attributs personnels que j’ai développés dans l’armée. La mentalité axée sur les objectifs et le penchant pour l’action que j’ai acquis durant ma carrière militaire me permettent de diviser les problèmes complexes en étapes réalisables pour éviter de me sentir surchargé. Dans l’armée, une grande partie de notre mandat consiste à faire partie d’une équipe, à cerner les forces et les compétences de nos collègues et à déterminer comment aider l’équipe à atteindre son but sans qu’on nous dise explicitement quoi faire. Ces aptitudes pour le travail d’équipe et ce sens de l’initiative sont directement transposables à la Banque Scotia ou à toute autre entreprise civile. Enfin, je puise beaucoup dans les compétences de leadership que j’ai acquises dans l’armée. Je cherche à comprendre l’intention derrière les objectifs qu’on me confie, je tiens tout le monde au courant du but à atteindre et je précise que chaque geste compte.
Meaghan : Pourquoi l’inclusion des vétérans à la Banque Scotia est-elle importante pour vous?
Josh : Les militaires, qu’ils soient actifs ou retraités, apportent une perspective unique au monde du travail. Ils savent rester calmes malgré la pression et en situation de stress intense, ce qui leur permet de voir les failles dans un plan que d’autres croient solide; c’est un atout majeur. Je peux dire sans réserve que depuis mon départ de l’armée, la Banque Scotia est la première entreprise au sein de laquelle je me vois rester longtemps. Je suis fier de dire que je suis un BanquierScotia et j’aimerais en demeurer un jusqu’à ma retraite. C’est pourquoi j’espère que la Banque Scotia continuera de connaître du succès, ce qui passe entre autres par l’inclusion durable des militaires.
Jesse : La Banque Scotia emploie des membres de la Première réserve. Il s’agit de soldats à temps partiel qui s’entraînent la fin de semaine et occupent souvent un emploi civil à temps plein. Pour les employés comme pour le Canada tout entier, il est crucial que le monde du travail continue d’offrir ce type de service qui permet aux réservistes d’aller s’entraîner. Plus tôt cette année, j’ai pu prendre congé à la dernière minute quand on m’a demandé de montrer des techniques vitales de réanimation préhospitalière en cas de traumatisme à des soldats qui allaient être déployés au Moyen-Orient, ce qui n’aurait pas été possible sans le soutien de mon gestionnaire à la Banque. Il est important de faire comprendre aux militaires qu’il y a une place pour eux dans le monde civil. Grâce aux expériences et aux traits de caractère qu’ils ont forgés dans l’armée, les vétérans apportent une précieuse contribution à la société et au marché du travail. L’inclusion des militaires et des vétérans à la Banque Scotia donne de la visibilité à notre groupe. Ainsi, nous sommes vus comme des membres à part entière de la société canadienne.
Meaghan : Y a-t-il une chose qui vous rend particulièrement fiers du groupe de ressources pour les employés Réseau des vétérans de la Banque Scotia?
Josh : En 2020, on m’a invité à assister en personne à un défilé militaire que la Banque Scotia avait organisé pour le jour du Souvenir. Jamais auparavant un de mes employeurs – banque ou autre – n’avait fait quelque chose du genre, et c’était encore plus spécial du fait que ça avait lieu malgré la pandémie. Il y avait des mesures de sécurité claires pour ceux qui se trouvaient sur place pour la cérémonie, mais cette présence m’a convaincu du dévouement de la Banque envers ses vétérans et de l’estime qu’elle nous portait.
Jesse : Au début de la pandémie, on a demandé à la Réserve de fournir une grande quantité de personnel pour combattre le virus. C’était un énorme défi. Quand on est réserviste, il peut être difficile de participer à ce genre d’initiative sans le soutien de notre employeur. Le Réseau des vétérans nous a indiqué à qui nous adresser et quel type de congé demander, et il a fourni un grand soutien aux réservistes déployés. Ça nous a permis de répondre à l’appel que le Canada avait lancé à ses militaires tout en sachant que nous aurions toujours un emploi à la Banque Scotia une fois notre mission terminée.
Meaghan : Enfin, quels sont vos espoirs pour l’avenir concernant l’inclusion des vétérans à la Banque Scotia?
Josh : Durant mon séjour dans l’armée, j’ai connu la Force de réserve et la Force régulière. Je peux affirmer sans me tromper que certains militaires redoutent la vie à l’extérieur de l’armée. Mais à un moment ou un autre, la plupart font la transition. J’ai espoir que la Banque Scotia continuera de faire connaître les postes intéressants qu’elle offre aux militaires actifs. La Banque est dévouée envers ses communautés et déterminée à changer les choses, et il y a une multitude de postes qui nécessitent des compétences militaires et qui peuvent donner aux membres des forces l’occasion de continuer à servir la société.
Jesse : J’ai espoir que la Banque Scotia continuera d’embaucher des militaires canadiens qui intègrent la population civile active et de les aider à exploiter leurs compétences de réservistes ou de vétérans. La transition est souvent difficile, puisqu’il n’est pas toujours évident de trouver un emploi qui nous donne une raison d’être comme c’était le cas dans l’armée. J’espère que la Banque Scotia continuera de montrer aux militaires qu’ils peuvent y trouver un sentiment d’appartenance semblable et tout ce dont ils ont besoin. J’espère qu’elle continuera de faciliter leur transition vers la vie civile. Il est important que les militaires sachent que la Banque Scotia valorise leurs compétences et leur expérience.
Rendez-vous ici pour en savoir plus sur les possibilités de carrière et savoir comment la Banque Scotia favorise un milieu inclusif pour les vétérans.